Éducation à la vie
affective et sexuelle

Interventions en écoles, collèges et lycées

Informer les enfants et les adolescent.e.s sur la sexualité est un devoir. Les informer, c’est les protéger !

Les enfants et les adolescent.e.s s’interrogent énormément au sujet de la sexualité. Ils se posent tout un tas de questions sur le corps, la relation à l’autre, la puberté, les relations intimes, la contraception, etc. Et, bien souvent, ils restent sans réponses

Cela génère beaucoup de stress chez de nombreux jeunes. Certains vont rechercher des réponses par eux-mêmes, en particulier via internet. Malheureusement, ils vont ainsi être très vite exposés à de la pornographie mainstream gratuite, qui va leur donner une images erronée de la sexualité et des relations intimes.

L’exposition précoce à la pornographie est une réalité ! L’âge moyen de première exposition à des images pornographiques est de 11 ans (contre 14 ans en 2017). Il s’agit d’une moyenne ; ce qui signifie qu’un nombre non négligeable d’enfants de primaire (6-10 ans) y est également exposé, souvent de manière accidentelle.

Cessons donc de nous voiler la face et de nier la réalité ! Montrons nous responsables et apportons des réponses claires et objectives à nos jeunes !

Mais comment faire quand nous n’avons nous-même pas reçu d’éducation à la vie affective et sexuelle ? Comment aborder ces sujets sans gêne et en utilisant les bons mots ?

La sexualité est, encore aujourd’hui, un sujet très tabou dans notre société. Nos générations d’adultes n’ont pas (ou très peu) reçu d’éducation à la vie affective et sexuelle, et nous pouvons nous sentir mal à l’aise d’aborder le sujet.
Comment en parler de manière naturelle et sans gêne ? Comment trouver les mots justes ?

Des séances d’« éducation à la vie affective et sexuelle » dans le cadre scolaire ont ainsi été décidées d’être mises en place par le gouvernement, en 2001, afin de pallier au manquement d’éducation à la sexualité des enfants et adolescent.e.s. L’éducation à la sexualité est ainsi inscrite dans le Code de l’éducation (articles L. 121-1 et L. 312-16) depuis la loi n° 2001-588 du 4 juillet 2001.
L’article L. 312-16 est ainsi libellé : « Une information et une éducation à la sexualité sont dispensées dans les écoles, les collèges et les lycées à raison d’au moins trois séances annuelles et par groupes d’âge homogène. Ces séances présentent une vision égalitaire des relations entre les femmes et les hommes. Elles contribuent à l’apprentissage du respect dû au corps humain. »

L’intersection des champs biologique, psycho-émotionnel, et juridique et social permet une approche globale, positive et bienveillante.

CELINE LAFABRIE_Éducation à la vie affective et sexuelle

À quoi servent les séances
d’éducation à la vie affective et sexuelle ?

"

1

Offrir un espace bienveillant d’écoute et de parole où chacun.e peut se sentir libre de s’exprimer et de poser ses questions sans jugement.

"

2

Informer de manière simple et claire, et apporter des réponses concrètes aux questions posées pour leur permettre de développer une vie affective et intime respectueuse et juste pour elles.eux.

"

3

Aborder l’intimité et la sexualité de manière positive.

"

4

Fournir des outils qui peuvent leur être utiles dans certaines situations.

"

5

Prévenir les comportements à risque et les dérives.

Les thèmes abordés varient en fonction de l’âge. Ils peuvent concerner :

CELINE LAFABRIE_Éducation à la vie affective et sexuelle

Mes interventions
en écoles, collèges et lycées

L’éducation et la transmission des connaissances sont des valeurs très importantes pour moi. J’occupais d’ailleurs auparavant, et pendant plus de 15 ans, un poste d’enseignante-chercheuse en biologie. 

Dans le cadre de mes interventions en « éducation à la vie affective et sexuelle », j’adapte les séances en fonction de l’âge des élèves et de la demande des établissements. J’utilise une approche globale et positive,
et des outils de communication variés.

Organisation des séances :

Durée : 2 h
Groupes : 15 élèves maximum
Matériel nécessaire : tableau (ou paperboard) et connexion internet
Présence d’une personne de l’établissement (infirmière, assistante sociale, …)